Enquête sur la sécurité du transport pipelinier P14H0011

Le BST a terminé cette enquête. Le rapport a été publié le 28 juillet 2015.

Table des matières

    Rupture d’un pipeline de gaz naturel
    TransCanada PipeLines Limited
    Canalisation 400-1 de la vanne principale 402
    près d’Otterburne (Manitoba)

    Ressources pour les médias

    L'événement

    Le vers 1 h 15 h, heure normale du Centre, la canalisation 400-1 du pipeline de gaz naturel de la TransCanada PipeLines Limited, d’un diamètre de 762 mm (30 po), s’est fracturée et s’est enflammée à la hauteur de la vanne de canalisation principale 402, près d’Otterburne (Manitoba). Un cratère d’environ 24 mètres de longueur sur 12,5 mètres de largeur a été créé, et des débris ont été projetés à environ 100 mètres du lieu de la rupture. Le gaz naturel a brûlé quelque 12 heures. Cinq résidences à proximité immédiate de l’accident ont été évacuées et l’autoroute provinciale 303 a été fermée jusqu’à l’extinction de l’incendie. Personne n’a été blessé.

    Communiqué de presse

    2015-07-28

    Un défaut préexistant est à l'origine de la rupture d'un pipeline survenue en janvier 2014 à Otterburne (Manitoba)
    Lire le communiqué de presse

    Avis de déploiement

    2013-10-17

    Le Bureau de la sécurité des transports du Canada dépêche un enquêteur à un accident de pipeline près de Otterburne (Manitoba)

    Winnipeg (Manitoba) le 25 janvier 2014 – Le Bureau de la sécurité des transports du Canada (BST) dépêche un enquêteur à un accident de pipeline près de Otterburne (Manitoba). Le BST recueillera des informations et évaluera l'événement


    Informations d'enquête

    Carte de la région

    P14H0011

    Rupture d’un pipeline de gaz naturel
    TransCanada PipeLines Limited
    Canalisation 400-1 de la vanne principale 402
    près d’Otterburne (Manitoba)

      Voir des images en haute résolution sur la page Flickr du BST.

    Catégorie de l’enquête

    Cette enquête est une enquête de catégorie 3. Dans le cadre de ces enquêtes, on analyse un petit nombre de problèmes de sécurité. Parfois, ces enquêtes donnent lieu à des recommandations. Les enquêtes de catégorie 3 se concluent généralement en 450 jours. Pour de plus amples renseignements, consultez la Politique de classification des événements.

    Processus d'enquête du BST

    Une enquête du BST se déroule en 3 étapes :

    1. L'étape du travail sur le terrain : une équipe d'enquêteurs examine le lieu de l'événement et l'épave, interviewe les témoins et recueille toute l'information pertinente.
    2. L'étape d'examen et d'analyse : le BST examine toute la documentation liée au dossier, effectue des tests en laboratoire sur des composantes de l'épave, établit la chronologie des événements et identifie toute lacune en matière de sécurité. Lorsque le BST soupçonne ou constate des lacunes en matière de sécurité, il en informe sans tarder les organismes concernés sans attendre la parution du rapport final.
    3. L'étape de production du rapport : une version confidentielle du rapport est approuvée par le Bureau et envoyée aux personnes et organismes qui sont directement touchés par le rapport. Ceux-ci ont l'occasion de contester ou de corriger l'information qu'ils jugent erronée. Le Bureau tient compte de toutes les observations fournies avant d'approuver la version définitive du rapport, qui est ensuite publiée.

    Vous trouverez de plus amples détails à la page sur le Déroulement des enquêtes.

    Le BST est un organisme indépendant qui mène des enquêtes sur des événements de transport aérien, ferroviaire, maritime et pipelinier. Son seul but est de promouvoir la sécurité des transports. Le Bureau n'est pas habilité à attribuer ni à déterminer les responsabilités civiles ou pénales.